Ivanohë 01/05/2018, 06h49Iv | | Renseignez vous. J'ai entendu sur France inter une info comme quoi il y avait soupçon d'effets secondaire inquiétants avec cette molécule. Et la psychothérapie? Essayez la Gestalt-thérapie. Ça m'a été salutaire. Et puis changez peut être de médecin...... |
Doudou 21/07/2017, 21h15Do | | Bonjour à tous, depuis quelque mois je fais une dépression très grave. Quand cela m'arrive ça me prend tout le corps avec des vertiges, des nausées, des picotements dans tout le corps, la sensation de tomber dans les pommes, l'impression que mon cœur va lâcher. Cela dure des heures à quelque jours, je n'en peux plus. J'ai consulté mon médecin, il m'a fait des prises de sang qui se sont toute révélées négatives, il m'a dit que tout allait bien mais moi je sombre de plus en plus. Aidez-moi s'il vous plait. |
Hana Croze 30/04/2017, 00h08Ha | | Bonjour, J'arrive certainement après la bataille. Je n'ai pas connu de problème d'anorexie, moi c'était plutôt l'inverse... J'ai fait une grosse dépression qui a duré plus de 4 ans (suivi par un psy depuis 3 ans) et j'ai pris 20 kg... Atteindre la barre des 100kg, c'est très dur. J'ai essayé tout un tas de médicament différent qui ont marché un temps mais qui m'ont conduit à la rechute bien des fois. Je ne suis pas remise encore totalement. Par contre, la médecine du travail m'a fait un électrochoc en me refusant la reprise du travail après un mois d'arrêt Arrivant à bout de moyen, ça m'a poussé à l'hospitalisation. Je voyais l'hospitalisation avec le sentiment d'être complètement tarée où j'allais être au milieu d'autres fous plus ou moins comme moi. Je veux juste dire que ça n'a pas été du tout le cas. Je suis tombée sur une équipe médicale au top qui m'a proposé un large panel de moyens pour me retrouver en alternative et complément à la solution médicamenteuse. J'ai pu parler de tout sans tabou, j'ai pu raconté mon mal être à l'oral avec la liberté de dire des choses qu'on ne peut dire nulle par ailleurs. J'ai tout déballé sans honte après tout j'y étais pour ça. Et j'ai enfin regardé en face ma maladie et vider mon sac. C'est pas marrant et ça demande beaucoup de sacrifices (séparation avec ma famille, mise à l'écart, perte de toute crédibilité...) mais tout le corps médical était aux petits soins avec moi et les autres patient. En me sortant de mon quotidien, je me suis aussi sortie de toute source de stress et ça m'a fait beaucoup de bien ! J'ai aussi pu être avec ma famille en mesurant la chance de pouvoir les voire. Même si j'ai encore du travail à faire sur moi je suis devenue plus bienveillante pour moi-même et ça fait un bien fou ! Et si ça ne marche pas, c'est pas grave ! J'ai encore eu le droit à une rechute après mais me suis enfin remise de façon durable et pour maintenir mon bien-être j'utilise tout ce que j'ai appris là-bas.
Bref, il faut tenter ! Ça ne coûte rien (ou presque) et peut faire du bien alors faut se lancer ! L'angoisse de la rechute est permanente. Et quand on commence comme ça c'est pas engageant mais en attendant je vais mieux et c'est ça qu'on cherche après-tout. |
Oreo42 14/03/2015, 02h09Or | | Carolinette33, croyez-vous qu'elle ne ressente aucun effet en avalant 7 boites de Donormyl ? Comment savez-vos qu'elle tient ? |
carolinette33 12/03/2015, 04h40ca | | Avant même de t'aider, j'aimerais comprendre comment tu fais pour tenir étant donné qu'un demi comprimé de Donormyl me fait dormir dans les 30 min max ! J'espère que tu vas mieux depuis ... et si le problème n'était pas le poids mais un trop grand stress, de gros problèmes perso ? Je pense que l'anorexie ou son contraire est causée parfois par une addiction, peut-être l'addiction de contrôle ? Dans tous les cas honnêtement consulte, ça me semble très grave, tu es en danger imminent, on peut pas prendre autant de cachets sans conséquence je pense. |
Oreo42 28/12/2014, 12h04Or | | Bonjour, j'ai été assez choquée par ce que vous avez écrit. J'aimerais savoir comment et pourquoi vous avez sombré dans l'anorexie. Et surtout, ce que je voudrais savoir, c'est ce que vous ressentez après avoir pris 7 boîtes de Donormy ! |
Laura (psychologue) 25/03/2013, 20h07La | | Bonsoir,
je ne peux pas répondre directement à votre question concernant le Donormyl n'étant pas médecin. Cependant, vous dépassez très largement la dose maximum prescrite.
Je me permets de réitérer mon conseil de consulter un psychiatre rapidement. Vous ne pouvez pas continuer à vous mettre en danger comme cela. Si votre psychiatre pense à vous hospitaliser c'est que vous en avez besoin.
Je ne peux pas pour l'instant vous recommander de vous adresser à une association. La situation est trop grave. Vous avez besoin d'aide de façon urgente.
Vous avez déjà connu des périodes de rémission de l'anorexie et de la dépendance aux médicaments. Comme vous le dites, c'est une fragilité en vous mais ce n'est pas une raison pour ne pas demander de l'aide et vous soigner.
Prenez-vous en charge et tenez-nous au courant.
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liane foly 25/03/2013, 15h34li | | Bonjour,
merci beaucoup de votre réponse.
En effet, ayant eu des soucis d'anorexie à l'âge de 15 ans, et ayant réussi à me soigner à un moment donné, il me reste depuis des "séquelles", soit des périodes où je ne souhaite plus m'alimenter. Mais depuis environ 5 ans, je suis tombée dans cette dépendance aux médicaments, j'ai été prise en charge par un psychiatre il y a 2 ans car mes parents et mon conjoint se sont rendus compte que je prenais plusieurs boites de xanax 0.50mg le soir (jusqu'à 5) que je mélangeait à l'alcool. Aujourd'hui, j'ai compris que j'ai eu énormément de chances de ne pas y passer. Mais le problème est revenu avec les donormyl...
Comme vous le dites je suis complètement consciente de mon problème et tiens énormément à la vie, mais le problème est plus fort que moi.
Si je n'arrive pas à me tourner vers une aide médicale aujourd'hui, c'est parce que mon médecin traitant est mon père (d'où le fait que j'ai pu me procurer toutes ces boites de xanax à un moment donné en lui volant des ordonnances), et que les psychiatres que je connais souhaitaient m'hospitaliser, malheureusement je refuse catégoriquement cette hospitalisation.
Aujourd'hui, seule face à ce mal être, je cherche à avoir l'électrochoc qui me ferait stopper cet enfer ; je suis persuadée que je suis face à un danger, même si ce n'ai pas de mort, peut-être par rapport à ma mémoire à long terme.
Vous qui êtes psychologue, peut-être connaissez-vous les risques que j'encours, ou peut-être des associations ou autre à qui je pourrais m'adresser...
Vos témoignages me sont très précieux et je vous en remercie. |
Laura (psychologue) 25/03/2013, 13h55La | | Bonjour,
votre témoignage est très inquiétant.
Le fait que vous vous posiez la questions des risques que vous encourrez à consommer de façon excessive des antihistaminiques dans le but d'éviter de vous alimenter montre que vous avez conscience qu'il y a un problème. De plus, ce comportement vous isole et doit certainement vous inquiéter et vous faire souffrir.
Je vous demande de consulter rapidement votre médecin traitant et de lui parler de cela. Il pourra faire un bilan de votre santé et vous adresser vers un psychiatre en qui il a confiance. Vous ne pouvez pas rester seule avec ce problème.
Bon courage et tenez-moi au courant. |