Calinette56 08/05/2022, 01h01Ca | | Bonsoir, j'ai eut l'ablation d'une hernie sus ombilicale en 2007, éventré en peu de temps après ce qui s'appelle une récide donc reprise, de la précédente ça fait 2 fois, quelques mois après Rebelotte 2 fois ça suffit logiquement, je me souviens encore j'ai déménagé avec mes parents à l'époque, changement de vie intégrale ou aujourd'hui même les aient expédié à leurs dernière demeure en 2013et 2015. Bref arrivé ici en septembre 2008, comme les deux dernières interventions je me tordait de douleur, je vomissait..., les medecins ont même eut du mal la localiser par scanner... Mais y sont arrivés par la force des choses il y avait une belle re eventravion en février 2009, en mars mon chirurgien viscéral meposait posait une plaque THT fixé avec 64 à agraphes en titanes non resorbables, au jour d'aujourd'hui, personne n'en reviens de mon état aujourd'hui. Le boulot de mon chirurgien nickel de 2009 jusqu'à 2018, ou j'ai eut des douleurs atrosses, et où j'ai voulut revoir mon chirugien et j'apprends son décès brutal en 2018 alors que je l'avais vu un an avant., dans l'entre faite j'ai quand même eut deux enfants bientôt 10 ans, et 6 ans, ma 3 eme en 2018, mes douleurs sont partent de la. Suivi par la maternité, en pleine grossesse bouree aux analogique lourd, n'ont jamais re adressé à un nouveau viscérale, je vomissait.... Une tâche noire sur la visicule, nous ne disent rien c'est pas grave ça partira comme c'est venu... Vogalene... Au bout de quelques moi j'ai repris mon emploi, jusqu'au 1er janvier 2020 en arrêt, mon médecin pense à tout grippé, covid et me soigne, j'ai perdu à ce moment là une dizaine de kg alors qu'en général malgré les grossesse c'est 55 kg donc énorme. Malgré tout les soins je vomit... Nous allons même rechercher une grossesse rien, prise de sang, test, mon généraliste m'en verra même faire une écho dans un cabinet privé. j'étais plate comme une galette et ben nous avons découvert notre petit dernier à l'âge de 6 mois presque 7mois de grossesse, c'était un déni qui se cachait derrière ma plaque abdominale. J'ai pris tout mon poids d'un coup, et encore mieux avec un œdème fulgurant présentant des flictenne(poche d'eau dans le bas des jambes) hospitalisé pour pre eclempsie à plusieurs reprise j'en était à ne plus uriner, d'ailleurs m' ont déclencher en urgence. Malgré tout mon fils est né diabétique, bref de la même les kinés ne veulent plus me toucher tellement douloureuses de tout les côtés., le dos, car lombalgie... De la pareil comme d'habitude, malgré tout je reprendrait mon travail car je suis ADVF, j'ai repris quelques mois de congés maternité, j'aurais fait que quelques mois d'avril à octobre 2021 ou idem mais la c'est mon employeur qui m'a arrêté, elle me dit, ça va ??? Vous êtes auxx régime ou quoi ??? Je lui dit non j'ai mal à ma plaque et à mon dos, je suis un peu fatigué mais ça va, elle me dit impensable, vous avez décoller ??? Mais chance je ne vomissait plus. Le soir même mon médecin en arrêt maladie mais au d'aujourd'hui après tout un batarie d'examen, ma plaque abdominale a pliee et je me retrouve à faire face 64 agraffes en titanes, qui se baladent dans ma paroi abdominale car elles ont lâchées, qu'une demande faite par mon endocrinologie de me faire l'ablation de la visicule reste urgente du faite que ma visicule est obstruée par des calculs, qu'au niveau rénal, je fait des coliques nephretiques, et des coliques hépatiques, ma vessie me bouche le canal urinaire sous medicants constant pour éviter l'œdème et qu'il va va falloir que je me sonde, bref, et mon chirurgien se refuse de m'opérer, apparemment trop de risque de finir en fauteuil, même pour simple ligatures de trompes, ma propre genycologue se refuse de me ré ouvrir ma paroi abdominales à trop peur des suite mais par contre je doit rester à vomir et continuer à maigrir, car je n'accepte plus ni solide, ni liquide et quand mes douleurs, sous morphine depuis plusieurs mois et en plus si malgré tout quand la douleur n'est plus gerable c'est la bouillotte plaqué contre ma paroi abdominale, sinon apparement, soit disant ont ne peut plus rien faire. Mon médecin traitant persuadé qu'au contraire il faut tenter un autre avis médical et voir un professeur en viscérale mais un des plus gand hôpitaux de Bretagne car aujourd'hui je n'ai que 40 ans et que je risque L'AVC du côté gauche car défaillance complète. |
Marie 22/10/2020, 03h29Ma | | Bonjour, je vois que ça fais quelques années que vous avez posé vos questions mais voici mon expérience: j'ai accoucher de ma première par césarienne d'urgence, ma deuxième presque d'urgence par césarienne. Après cet accouchement, j'ai découvert que javais une hernie abdominale. Je voulais un 3ème en espérant que ce soit un p'tit gars vu que j'ai deux filles mais j'hésitais quand j'ai pris ma décision de me faire opérer pour hernie car je ne voulais pas. J'ai appris que j'étais enceinte de 5 semaines, j'avais très peur et les médecin me le montraient pas trop mais je savais qu'ils ne savaient pas comment ma grossesse allait se passer car avant 24 semaines le bébé pourrait mourir. Ensuite, il serrait possible de le sauver mais après 24 semaines ça pouvait être moi ou à l'accouchement que ça pouvait finir, on ne savait pas mais j'ai décidé de le garder. J'ai eu une très belle grossesse et normale mais mi-décembre, j'ai eu 2 étranglements et ouf ça fait mal! J'ai accouché le 26 décembre au lieu du 17 janvier mais pas grave, ma fille est tout à fait normale et rien ne la affecté pendent qu'elle était dans mon ventre. Je les eu par césarienne mais cette fois dans le calme! ha, en plus, pendant ma césarienne, j'ai reçu les deux opération césarienne et pour mon hernie je suis rentrée à 10h pour me faire installer. Ma fille est née à 11h11 et à 12h j'étais dans la salle de réveille. Bonne chance et si vous avez des question, écrivez moi maria-helena84@hotmail.co car je suis pas sur de voir les messages. |